Question 1
G.Courbet apparaît au milieu du XIX° s. :
Comme un peintre paysan et socialiste
Comme un soutien politique au Second Empire
Question 2
Son tableau, "Un enterrement à Ornans" s'intitule aussi :
"historique d'un enterrement à Ornans"
"allégorie réelle"
Question 3
Son tableau, "Un enterrement à Ornans" représente :
Une élite sociale idéalisée
Les gens de toute condition, grandeur nature
Question 4
Ce tableau est contemporain
De l'Impressionnisme
De l'Ecole de Barbizon
Question 5
Le tableau "Les baigneuses" scandalise notamment par :
Le nu réaliste et indécent, de dos, aux pieds sales
Le paysage au format portrait
Question 6
Pour peindre des nus à Ornans, Courbet :
Fait venir des modèles professionnels
Peint d'après les photos de ses modèles parisiens
Question 7
Quel est le nom du mécène de G.Courbet :
Etienne Vallou de Villeneuve
Alfred Bruyas
Question 8
Quel sont les 1ers tableaux de Courbet achetés par ce mécène :
"Un enterrement à Ornans" et "Les casseurs de pierre"
"La fileuse endormie" et "Les baigneuses"
Question 9
Ce mécène vit :
à Marseille
à Montpellier
Question 10
Ce mécène collectionne les oeuvres :
De tous les courants de son temps
Uniquement réalistes
Question 11
Ce mécène léguera toute sa collection d'oeuvres :
Au musée d'Orsay
Au musée Fabre
Question 12
Ce mécène invite Courbet dans sa ville :
En 1854
En 1864
Question 13
G.Courbet représente son mécène notamment :
Dans "La rencontre" et "L'atelier"
Uniquement dans le tableau "La rencontre"
Question 14
Dans "La rencontre", G.Courbet :
Peint une scène claire et lumineuse de plein air
Peint un camaieu
Question 15
A l'Exposition Universelle de 1855, le jury refuse :
Le tableau "La rencontre"
Le tableau "L'atelier"
Question 16
Le tableau "l'atelier" montre tout à la fois :
Une scène de genre, un autoportrait, une allégorie
Un roi, des enfants, des nus, des animaux, des paysages
Question 17
Parlant de sa toile "L'atelier", G.Courbet écrit :
"Ils m'ont tué, ces gens-là"
"C'est le monde qui vient se faire peindre chez moi"
Question 18
Le refus du jury pousse G.Courbet à exposer seul :
Dans une salle du Palais des Beaux-Arts
Dans un édifice qu'il fait construire
Question 19
G.Courbet intitule son lieu d'exposition :
"Pavillon du Réalisme"
"Manifeste du Réalisme"
Question 20
G.Courbet y expose en 1855 :
40 toiles
140 toiles
Question 21
G.Courbet y expose en 1855 :
Des toiles "à voir" (prêtées) et "à vendre"
Que des toiles "à vendre"
Question 22
Pour G.Courbet le terme de "Réalisme" :
Lui a été imposé
Désigne une imitation servile du réel
Question 23
Pour G.Courbet, le "Réalisme" :
"c'est l'art pour l'art"
"c'est faire de l'art vivant"
Question 24
Pour G.Courbet le Réalisme :
C'est une vision misérabiliste de la société
C'est la négation de l'idéal
Question 25
Pour G.Courbet le Réalisme :
C'est donner sa vision personnelle de l'époque
C'est peindre le laid
Question 26
Dès les années 1850, la peinture de G.Courbet est reconnue :
En Belgique, Suisse, Hollande et Allemagne
En Angleterre, Italie, Espagne et Russie
Question 27
G.Courbet s'appuie sur l'essor des marchands d'art :
En France et à l'étranger
En France seulement
Question 28
G.Courbet, dès cette période :
Organise la circulation d'expositions en province
S'oppose à la parution de caricatures le concernant
Question 29
Courbet exposera à nouveau en marge de l'Exposition Universelle :
En 1865
En 1867
Question 30
Il multiplie alors sa production et peint :
Des natures mortes, des chasses, des marines
Des nus, des portraits, des scènes historiques
Commentaires