Question 1
Le Classicisme est le siècle de
Louis XIV
Louis XVI
Louis XVIII
Question 2
L’idéal classique peut se résumer par ces trois mots :
Instabilité, illusion et excès.
Symétrie, mesure et simplicité
Raison, tolérance et individu.
Question 3
Mettez en relation ce portrait d'artiste avec le mouvement qui lui correspond.Il est maître de lui-même, il a le sens de la mesure.IL ne choque pas par son comportement agressif.IL s’adapte à la vie en société
Romantisme
Les Lumières
Classicisme
Réalisme
Question 4
Il revendique, veut son autonomie et n’hésite pas à s’engager contre les injustices. IL s’émancipe des préjugés et prône la Tolérance. Il a foi dans le progrès humain et met son art au service de l’édification
Romantisme
Les Lumières
Classicisme
Réalisme
Question 5
Son principal centre d’intérêt le monde dans lequel il vit, le contexte social et historique. Ses œuvres tendent un miroir, souvent satirique notamment sur les mœurs de la classe montante, la bourgeoisie. Il cherche à créer des effets de vérité
Romantisme
Les LUmières
Classicisme
Réalisme
Question 6
Il n’a pas peur de dire « je » que ce soit pour dire sa peine ou pour combattre les injustices. La situation historique lui a fait connaître les désillusions ; il condamne la société accusée de mensonge et de corruption, il se sent souvent en exil sur la
Romantisme
Les Lumières
Classicisme
Réalisme
Question 7
Le Réalisme est un mouvement artistique du
XVII ème siècle
XVIII ème siècle
XIX ème siècle
XX ème siècle
Question 8
Le Réalisme s'oppose au :
Siècle des Lumières
Symbolisme
Romantisme
Question 9
Quel est le genre par excellence des écrivains réalistes?
La poésie
Le roman
Le théâtre
Question 10
Quelle est la liste des écrivains réalistes?
Lamartine, Chateaubriand, Hugo
Balzac, Maupassant, Zola
Baudelaire, Rimbaud, Verlaine
Question 11
Quelle nouvelle valeur apparaît dans les romans réalistes?
Le bonheur
L'argent
L'éducation
Question 12
Qui peut dire?
Un héros romantique
Un héros tragique
« Je suis une force qui va ! Agent aveugle et sourd de mystères funèbres ! Une âme de malheur faite avec des ténèbres ! Où vais-je ? je ne sais. Mais je me sens poussé D'un souffle impétueux, d'un destin insensé. Je descends, je descends, et jamais ne m'arrête. Si parfois, haletant, j'ose tourner la tête, Une voix me dit : Marche ! (…) |
Commentaires