Question 1
1 La dénitrification consiste à capturer l'azote de l'air pour le stocker dans le sol avec des plantes qui concentrent l'azote dans leur racine
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Question 2
Dans la tragédie des biens communs de Hardin (1968), c’est parce qu’il n’y a aucune régulation entre les consommateurs d’une ressource commune qu’elle finit par disparaître.
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Question 3
Les expériences de terrain montrent que plus il y a d'espèces dans un système : 1) plus la productivité est importante, 2) plus la stabilité globale est importante et 3) plus elles résistent aux perturbations.
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Question 4
Parmi les 10 frontières que l'humanité ne peut dépasser, les 3 principaux problèmes sont la perte de biodiversité, le changement climatique et la perte d'ozone.
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Question 5
5 L'analyse des services écosystémiques peut se résumer à une évaluation monétaire des différents bénéfices tirés des écosystèmes pour avoir une évaluation objective.
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Question 6
Les activités humaines consomment environ 8% des eaux de surface et souterraines et 70% de cet usage est destiné à l'agriculture.
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Question 7
La première évaluation globale de la valeur des services écosystémiques (Costanza – 1997) révèle que ce sont les milieux humides qui produisent le plus de services écosystémiques à l’hectare.
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Question 8
"Blue roofs" indique que les toits peints en bleu permettent de limiter l'accumulation de la chaleur dans les villes.
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Question 9
L'un des défis principaux de l'agriculture du futur est de mieux adapter les conditions de production agricole à l'environnement et de diminuer les apports d'intrants et d'énergie.
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Question 10
Un belge a en moyenne besoin de plus de 5 planètes pour assurer ses besoins alors qu'un terrien moyen n'a besoin que de 1.5 planète.
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Question 11
11 Dans la méthode « Push-Pull » qui utilise la communication chimique entre les insectes et les plantes pour protéger la culture, le terme « Pull » indique que les papillons sont repoussés par la plante utilisée en interculture
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Question 12
L'empreinte écologique mesure la destruction des milieux naturels pour les convertir en zones urbanisées et agricoles intensive. Elle se mesure en ha par habitant.
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Question 13
La logique de paiement pour services écosystémiques est celle du polleur-payeur qui consiste à faire payer ceux qui détruisent les écosystèmes.
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Question 14
2008, vu la quantité de zones forestières et de zones cultivées, la biocapacité en Belgique était bien supérieure à la biocapacité moyenne calculée à l'échelle du globe.
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Question 15
La notion de biocapacité se mesure par des surfaces biologiquement productives qui produisent des ressources naturelles comme les forêts, les zones de pêche, les rivières, les terres cultivées et qui absorbe les émissions de CO2 ou d’autres déchets.
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Question 16
Résilience se définit comme étant la capacité d'un système à resister le plus longtemps possible au changement en ne bougeant pas.
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Question 17
La méthode d'évaluation hédoniste estime la plus ou la moins value d'un bien en fonction de la qualité de son environnement.
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Question 18
Les valeurs symboliques désignent des montants très faibles de services écosystémiques.
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Question 19
Parmi les différentes valeurs de la biodiversité, on a la valeur monétaire, la valeur instrumentale, la valeur eudémoniale, la valeur patrimoniale, la valeur écologique et la valeur intrinsèque.
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Question 20
21 Le développement soutenable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.
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Question 21
La quantité d’eau potable est un service de régulation
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Question 22
Les zones urbanisées sont plus de deux fois plus importantes en Flandre qu’en Wallonie.
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Question 23
L'indice de planète vivante, qui mesure l'évolution globale des populations de vertébrés, atteignait - 28% à l'échelle du globe, mais montrait de fortes différences entre les régions du monde.
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Question 24
La mesure de l'empreinte hydrique d'un occidental moyen montre qu'il consomme pratiquement 30 x plus d'eau indirectement - à travers les produits qu'il achète - que directement.
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